jeudi 29 mars 2018

4 films que j'ai découverts sur Netflix, et beaucoup aimé


J'ai vu ces 4 films il y a peu de temps et j'ai beaucoup aimé ces découvertes cinéma. Je les ai tous vu sur Netflix, qui est une vraie mine de films et de séries !
Ce sont des films très différents, mais ils ont en commun d'être des réussites. J'ai fait mes choix en fonction du casting ou du thème.
Parmi cette sélection, il y a du cinéma français, anglo-américain et chinois. J'aime cette alternance des genres et je me suis laissé embarquer avec plaisir dans toutes ces différentes histoires !
Voici donc ces 4 bons films que je vous conseille : 

"L'homme qui voulait vivre sa vie". Avec : Romain Duris, Catherine Deneuve, Marina Foïs et Niels Arestrup


Le synopsis du film : Paul Exben, un avocat à succès, est marié et père de deux jeunes enfants. Il a en apparence tout pour être heureux. Pourtant, il sent que sa vie lui échappe sur tous les plans.
Il va provoquer accidentellement la mort d'un homme. C'est alors qu'il décide de tout quitter, en prenant l'identité de sa victime.

Mon avis : "L'homme qui voulait vivre sa vie" est un film que j'ai trouvé excellent. L'intrigue est parfaitement bien ficelée. Ce thriller psychologique est palpitant !
Ce film français d'Éric Lartigau est inspiré du roman du même nom de Douglas Kennedy.
Le casting du film est un sans faute et Romain Duris est impeccable dans le rôle de Paul Exben. J'aime beaucoup cet acteur que j'ai vu pour la première fois dans le film "Paris".
Catherine Deneuve fait une brève apparition mais elle apporte beaucoup au film, quant à Niels Arestrup, il est une fois de plus d'une extrême intensité dans son jeu d'acteur.
"L'homme qui voulait vivre sa vie" est un film émouvant, étonnant, troublant... Un vrai et beau moment de cinéma.


"La foire aux vanités". Avec : Reese Witherspoon, James Purefoy, Jonathan Rhys-Meyers... 


Le synopsis du film : Fille d'un artiste peintre anglais sans le sou et d'une chanteuse de cabaret, Becky Sharp rêve d'une vie faite de richesses et de reconnaissance.
Jeune orpheline, Becky quitte le pensionnat, bien décidée à se hisser au sommet de la haute société britannique du début du XIXe siècle. Elle ne reculera devant rien pour atteindre ses objectifs.

Mon avis : "La foire aux vanités" est un film anglo-américain de Mira Nair. Il est sorti en 2004 et il s'agit d'une adaptation du roman de l'auteur britannique William Makepeace Thackeray.
J'ai été fasciné par les décors de ce film. Souvent, j'avais l'impression de regarder l'un des tableaux d'un grand peintre paysagiste du XIXe siècle !
Les costumes sont également très soignés. "La foire aux vanités" est un film long, il dure plus de 2h20, mais je ne me suis pas ennuyé une seconde.
Les personnages sont passionnants, et on est vite intrigué par Becky Sharp, une jeune femme intelligente et tenace.


"Hide and Seek". Avec : Wallace Huo, Hailu Qin, et Regina Wan


Le synopsis du film : Un homme vit dans un bel appartement avec sa femme et sa fille. Il a la phobie des microbes, il fait des rêves étranges et lutte contre son passé difficile.
À la recherche de son frère, il visite un complexe de bâtiments dans une partie pauvre de la ville, emmenant sa femme et sa fille.
Pendant qu'il cherche des indices pour retrouver son frère, il découvre que celui-ci à peut-être commis un crime horrible.

Mon avis :
"Hide and Seek" est un film chinois réalisé par Jie Liu. Ce thriller est riche en rebondissements.
J'ai beaucoup aimé l'ambiance du film, faite de mystères et de secrets, avec ce personnage principal qui est loin d'être un homme à la vie simple.
C'est un film prenant, et je suis allé de surprises en surprises ! Le scénario est soigné et les acteurs sont tous convaincants.
Le rôle principal est interprété par l'acteur Wallace Huo, véritable star en Chine et qui est parfait dans toutes les scènes du film. Le suspense est garanti !


"Elle s'en va". Avec : Catherine Deneuve, Claude Gensac, Gérard Garouste, Camille, et Nemo Schiffman


Le synopsis du film : Bettie, la soixantaine, est une ex-reine de beauté qui vit avec sa mère, et qui se voit soudain abandonnée par son amant. Elle connaît de plus de grandes difficultés financières avec son restaurant.
Un jour, à bout de nerfs, elle prend sa voiture et roule encore et encore, sans même savoir où elle va. Lors de cette échappée, elle fait différentes rencontres. Elle se rend chez sa fille, et à la rencontre de son petit-fils.

Mon avis : J'ai vraiment adoré ce film. Ce road-movie à la française est rempli de scènes touchantes, mais il y a également beaucoup d'humour, et le petit-fils de Bettie a des répliques qui ne peuvent que faire rire ou sourire !
Tous les acteurs sont incroyables de naturel et c'est la première fois que je vois Catherine Deneuve aussi simple et nature dans un film.
Le passage où elle retrouve d'anciennes miss régionales millésime 1969, est à la fois drôle et si réaliste.
Il y a également cette relation que Bettie va nouer avec Charly, son petit-fils. Ces moments sont à mes yeux les plus sensibles de "Elle s'en va". C'est un film formidable et à ne pas manquer.

mercredi 28 mars 2018

La sieste du chat Grizzli dans son hamac


Grizzli est un gentil et gros matou qui fut pris en charge par le refuge où je suis bénévole. Une collègue bénévole a craqué sur lui, et l'adoption a été finalisée.
Et oui, le risque d'un bénévole, c'est qu'il craque sur un des petits pensionnaires du refuge !
Je suis donc allé chez cette amie bénévole, et du coup j'ai vu Grizzli. Voilà un chat gâté et choyé, aussi agréable à vivre qu'équilibré.
S'il y a bien une chose qui caractérise un chat, c'est la sieste ! Grizzli ne fait pas exception à la règle.


Lorsque je suis arrivé, le matou était en pleine sieste, visiblement épuisé de sa matinée. Manger des croquettes et faire sa toilette, ça épuise !
Grizzli a trouvé la place idéale pour dormir : un hamac accroché au radiateur.
De la chaleur, du confort, toutes les conditions sont réunies pour une longue sieste.
Pas du tout dérangé par mon appareil photo, Grizzli a continué à sommeiller, en prenant des positions parfois comiques !





lundi 26 mars 2018

Paris, la place de la Concorde et le jardin des Tuileries


En ce début de printemps, je suis allé me balader au jardin des Tuileries, en passant par la place de la Concorde. Des endroits parisiens incontournables !
Le jardin des Tuileries, qui sépare le musée du Louvre de la place de la Concorde, est un lieu de promenade et de culture très apprécié par les parisiens et les touristes. Aux beaux jours, il est d'ailleurs miraculeux de trouver un siège pour s'assoir.
Situés sur la rive droite, dans le 8e arrondissement de Paris, la place de la Concorde et le jardin des Tuileries sont desservis par la station de métro Concorde.


Le jardin des Tuileries est un parc parisien créé au XVIe siècle, à l'emplacement d'anciennes tuileries qui lui ont donné son nom. Il est le plus important et le plus ancien jardin à la française de Paris.
La superficie du jardin est de 25,5 hectares. Autant dire que l'on peut y faire de longues et belles balades, ou s'y poser pour lire un bon bouquin !
C'est le célèbre jardinier du roi, André le Nôtre, qui va donner au parc à partir de 1664 son aspect de jardin à la française.

La place de la Concorde, avec 8,64 hectares, est la plus grande place de Paris.
Elle est située sur la rive droite, au pied des Champs-Élysées.
Cette place monumentale est la plus importante création du Siècle des Lumières dans Paris. Avec son Obélisque de Louxor, ses superbes statues, et sa vue sur la grande Dame de fer, il n'est pas étonnant qu'elle soit si visitée.
La place de la Concorde fut créée entre 1755 et 1775, à l'initiative du roi Louis XV. C'est l'architecte Jacques Ange Gabriel (1698-1782) qui lui a donné la forme d'un octogone. Une place chargée d'histoire.







jeudi 22 mars 2018

La rue Damesme, Paris 13e, un air de village


La rue Damesme est située dans le quartier de la Maison-Blanche, qui est un quartier rempli de rues et impasses à l'allure champêtre.    
Cette voie publique se trouve en plein 13e arrondissement de Paris. La station de métro Tolbiac est la plus proche.
Tout un côté de la rue Damesme est bordé de belles maisons qui en prime possèdent des jardins. On a l'impression d'être à la campagne ! La végétation est abondante et ces lieux sont paisibles.
La rue Damesme est juste à côté du si joli square des Peupliers et de la rue Dieulafoy, qui sont à voir.


Cette voie parisienne porte le nom du général de brigade, Édouard Adolphe Déodat Marie Damesme (1807-1848).
Tracée sur le plan de Roussel de 1730, elle était alors située sur la commune de Gentilly sous le nom de "vieille route de Lyon".
Cette voie fut ensuite nommée "rue du Bel-Air". Elle sera classée dans la voirie de Paris par décret du 23 mai 1863 avant de prendre sa dénomination actuelle par un décret du 10 août 1868.
Pour la petite histoire, au numéro 5 se trouve une école immortalisée par Robert Doisneau, en 1956, dans la célèbre photo intitulée "les écoliers de la rue Damesme".





mardi 20 mars 2018

"Sur la même ligne d'horizon" de Zhang Xinxin


C'est au rayon consacré à la littérature chinoise que je suis tombé sur ce livre : "Sur la même ligne d'horizon". Après avoir lu la 4e de couverture, je me suis laissé tenter.
"Sur la même ligne d'horizon" de Zhang Xinxin, est un livre plein de finesse et de justesse, que l'on a du mal à lâcher.
On va suivre l'histoire d'un couple, entre les moments chargés d'incompréhensions et d'émotions.
Avec "Sur la même ligne d'horizon", Zhang Xinxin signe là un très beau livre.

Le résumé :
Cette histoire d'un couple est écrite en Chine (ce n'est pas un livre d'exil) par une femme qui a l'âge de ses personnages et une vie qui ressemble étrangement à la leur.
Voici donc deux jeunes gens qui, dans le roman, parlent tour à tour. Elle prépare un concours, lui peint et dessine.
Ils se sont mariés, ils ont rompu, ils poursuivent, chacun de son côté, de difficiles succès. Du matin au soir, ils filent à bicyclette à travers Pékin, travaillent, cherchent.
Ils se croisent, s'affrontent, se retrouvent, s'émeuvent, nous émeuvent.

Mon avis :
"Sur la même ligne d'horizon" est un livre avec une vraie poésie. L'écriture est à la fois fluide et intense. J'ai lu ce livre avec plaisir et intérêt.
Ce récit de l'auteure chinoise, Zhang Xinxin, est prenant dès le début car les deux personnages sont attachants. Elle veut être comédienne, lui est peintre et affronte le rude monde de l'art, bien décidé à réussir.
Chacun des deux héros nous raconte son parcours, ses doutes, ses joies et ses peines :
"Les gouttes martèlent ma capuche sans répit. Ce que je perçois de l'univers tout entier est contenu dans ce bruit. Un autobus soulève une trompe d'eau, éclabousse mes jambes ; des passants se sont mis à l'abri sous les auvents des boutiques. Je me laisse entraîner par le mouvement ininterrompu des pédales et je songe à un jour de grande pluie, au jour où il entra dans ma vie."

Ce couple de chinois de la nouvelle génération est plein d'ambition, mais tous les deux ne veulent cependant pas sacrifier leur bonheur personnel.
Au fil des pages, on apprend à connaître ce couple, et l'auteure arrive à ne pas nous faire choisir un camp ! J'ai aimé le fait qu'il n'y ait pas un bon et un méchant. Chacun possède ses qualités et ses défauts.
"Sur la même ligne d'horizon" est un roman très réussi, tant par son style littéraire que par son histoire.
Zhang Xinxin est une auteure que je suis heureux d'avoir découvert et j'ai fortement envie de m'intéresser à ses autres romans. 

L'auteure :
Zhang Xinxin est née en 1954 et vit à Pékin. Elle est l'auteure de plusieurs romans.
"Sur la même ligne d'horizon" est son plus grand succès.

dimanche 18 mars 2018

La visite du musée de la Compagnie des Indes, à Lorient


Le musée de la Compagnie des Indes, à Lorient, est dédié à l'histoire de la Compagnie française des Indes occidentales et orientales (1664-1793).
Ce musée d'art et d'histoire de la ville de Lorient (Morbihan), est passionnant à visiter et j'ai été impressionné par le nombre d'objets d'art qu'il contient. 
Il n'est pas étonnant que depuis son ouverture, près de 1,5 million de visiteurs aient déjà été à la découverte la richesse de ses collections. Il fait d'ailleurs partie des musées les plus fréquentés de Bretagne.

Le musée de la Compagnie des Indes est implanté dans la citadelle de Port-Louis, face au musée national de la Marine, depuis 1984. Cette forteresse est immense !
La citadelle de Port-Louis domine Lorient et elle fut marquée par les événements de l'histoire bretonne des XVIe et XVIIe siècles.


Le musée de la Compagnie des Indes permet de découvrir des collections de maquettes de navires, de mobiliers et objets d'art, de céramiques, de peintures et arts graphiques, ainsi que des textiles.
 
Les collections vont être rassemblées à partir des années 1960.
La collection de céramiques comprend plus de 400 pièces, dont beaucoup de porcelaines d'exportation chinoises du XVIIIe siècle.
J'ai été sous le charme de tous ces magnifiques objets d'art chinois ! Ils sont vraiment d'une grande beauté et d'une incroyable finesse. J'ai passé un long moment parmi ces objets, transporté dans l'Asie.
Ce lieu culturel dans un cadre authentique et atypique est à ne pas manquer.

Adresse : Citadelle de Port-Louis, Avenue du Fort de l'Aigle, 56290 Port-Louis












vendredi 16 mars 2018

Janet, l'élégante minette qui a trouvé sa famille


S'il y a bien une chose qui caractérise Janet, c'est son élégance. La minette prend toujours des positions qui lui vont à ravir !
C'est au refuge où je suis bénévole que j'ai rencontré Janet. La jeune chatte avait eu un passé difficile, fait de mauvais traitements et d'une grave maladie.
De ce passé, Janet avait gardé la crainte de se faire caresser. La main de l'homme ne lui était pas bienveillante, et donc si on voulait la caresser, elle râlait, mais sans aucune méchanceté.
En revanche, quand ça la prenait, elle venait se frotter contre les bénévoles en ronronnant. Le moment câlin de Janet !


Après plusieurs mois, Janet est devenue beaucoup plus confiante et a accepté les caresses. Les hommes n'étaient plus à redouter.
Toujours très fière et altière, Janet fut vite surnommée par les bénévoles "Miss Jaja". Il faut avouer qu'elle prenait la pose comme une reine de beauté !
Et c'est vrai qu'elle est belle cette minette. Ses grands yeux verts, son pelage aux différentes couleurs, font d'elle une gracieuse féline.
Janet a maintenant trouvé sa famille pour la vie et tout se passe à merveille. Dès son arrivée dans son nouveau chez elle, elle ronronnait de bonheur !





jeudi 15 mars 2018

La visite du musée des beaux-arts de Rennes


Le musée des beaux-arts de Rennes propose une importante collection de peintures, dessins, sculptures, antiquités égyptiennes et grecques, ainsi que des objets d’art.  
Un ensemble exceptionnel de dessins réalisés par Léonard de Vinci, Botticelli, Dürer et Rembrandt ornent les murs du musée.
Les plus grands noms de la peinture sont présents : Camille Corot, Eugène Boudin, Johan Barthold Jongkind, Gustave Caillebotte, Lubin Baugin, et tant d'autres.
La collection de peintures et sculptures européennes du XIVe au XXe siècle est également impressionnante.
L'actuel musée est situé dans l'ancien palais universitaire. Ce superbe bâtiment aux immenses salles est un parfait endroit pour accueillir toutes ces œuvres.


J'ai particulièrement été sensible aux magnifiques sculptures et les peintures exposées sont un régal pour les yeux !
Les antiquités égyptiennes et grecques sont très nombreuses et occupent plusieurs salles.
Quant aux objets d'art, ils proviennent d'Europe, mais aussi d'Afrique et d'Amérique, d'Asie Mineure ou extrême-orientale. On voyage dans le temps et dans le monde avec ces œuvres.
Durant la visite du musée des beaux-arts de Rennes, il ne faut surtout pas manquer le cabinet de curiosités du marquis de Robien (1698-1756). Il avait rassemblé une impressionnante collection d'œuvres et d'objets de toutes les époques.
Les objets précieux venant d'Asie sont d'une extrême beauté !
Les visiteurs ne peuvent qu'être conquis par ce musée.

Adresse : 20 Quai Emile Zola, 35000 Rennes