vendredi 29 septembre 2017

La villa Rimbaud, Paris 19e, un bel hommage au poète


La villa Rimbaud est une voie publique qui fait partie du quartier d'Amérique et qui est un plein cœur de la Mouzaïa.
C'est dans le 19e arrondissement de Paris que cette belle impasse intime est située. Elle débute au 3 rue Miguel-Hidalgo et se termine en impasse.
Ouverte en 1926 dans un lotissement appartenant à M. Frémont, la villa Rimbaud est longue de 50m et large de 3m. Cette étroite voie pavée est composée de belles maisons et possède un style champêtre.
Les stations de métro Danube et Botzaris sont les plus proches du lieu.


La villa porte le nom du poète français Arthur Rimbaud (1854-1891), qui est une des figures majeures de la littérature française.
C'est à l'âge de 15 ans qu'Arthur Rimbaud va écrire ses premiers poèmes. Son œuvre poétique est marquée par sa vie surprenante et remplie d’aventures.
Rimbaud va écrire de magnifiques poèmes que l'on peut retrouver dans ses œuvres littéraires : Le Bateau ivre, une saison en enfer, et les Illuminations.
Ses idées marginales, anti-bourgeoises et libertaires vont le pousser à choisir une vie aventureuse, faite de nombreux voyages et de rencontres.






mercredi 27 septembre 2017

"Gypsy", la série thriller psychologique avec Naomi Watts


Lancée à la fin du mois de juin par Netflix, cette série à l'ambiance thriller psychologique est portée par l’actrice Naomi Watts.
Une série que j'ai regardée cet été et qui mérite que l'on s'y attarde car elle réserve de bons moments. Surtout, "Gypsy" questionne sur l'identité, nos rêves et aspirations, le quotidien, et cette part d'ombre qui peut habiter l'être humain.
Je ne vous cache pas qu'au début j'ai eu un peu de mal à accrocher avec "Gypsy". J'ai d'ailleurs failli arrêter de regarder la série à la fin du deuxième épisode ! Puis j'ai tout de même voulu persévérer, et je ne le regrette pas.
Dès le troisième épisode, j'ai vraiment voulu connaître la suite et j'ai été embarqué dans les aventures de Jean Holloway.
Le personnage principal, Jean Holloway, est incarné par l'actrice britanno-australienne, Naomi Watts. Avec sa beauté classique, elle incarne à la perfection ce personnage à la double personnalité. À la fois ange et démon !


Le synopsis de "Gypsy" :
Jean Holloway est une thérapeute qui travaille à New-York et qui vit une vie de famille tranquille en banlieue.
Jean s'ennuie dans cette vie sans surprise. Elle gère aussi très mal sa jalousie envers l’assistante de son mari et les jugements des mères du quartier suite au questionnement de sa fille concernant son identité sexuelle.
La brillante thérapeute va se mettre à jouer à un jeu dangereux. En cachette, sous le pseudonyme de Diane Hart, elle va s'immiscer dans les vies des personnes impliquées dans l'entourage de ses patients.


"Gypsy" est une série dans laquelle les intrigues montent crescendo et c'est pour cette raison que les premiers épisodes peuvent sembler relativement lents.
En apparence, Jean Holloway a tout pour être heureuse. Un bon job, des collègues sympas, un mari aimant et charismatique, une fille intelligente, une belle maison... Mais sous cette vie parfaite le vernis craque.
Jean est enfermée dans une routine de couple installée depuis longtemps. Elle décide de pimenter sa vie en rencontrant les proches de ses patients, et elle est particulièrement marquée par Sidney Pierce, l'ex-petite amie manipulatrice de l'un de ses patients.
La thérapeute va même se laisser charmer par Sidney ! Sa méthode devient donc de plus en plus risquée. Les tourments identitaires et les démons de jeunesse de l'héroïne refont surface.

La réalisation de "Gypsy" est très bien maîtrisée, les personnages ont de l'épaisseur, et les ambiances et les décors sont soignés. 
Les acteurs Naomi Watts et Billy Crudup forment un couple qui fonctionne bien, en revanche j'ai été moins enthousiasmé par l'interprétation de Sophie Cookson dans le rôle de Sidney.
"Gypsy" est une série qui explore les pistes du thriller psychologique, et c'est convaincant.

mardi 26 septembre 2017

Le passage du Chantier, Paris 12e, le charme de l’ancien


Le passage du Chantier fait partie du quartier des Quinze-Vingts et du Faubourg Saint-Antoine, qui est un des plus anciens coins de Paris.
Au Faubourg Saint-Antoine, il n'est pas rare de tomber sur des passages, des impasses ou des cours, qui ont gardé ce charme de l'ancien. Nous sommes dans un Paris pittoresque.
Le passage du Chantier est situé dans le 12e arrondissement de Paris. Il débute au 53 rue de Charenton et se termine au 66 rue du Faubourg Saint-Antoine. Les stations de métro Ledru-Rollin et Bastille sont les plus proches.


Au 17e siècle, ce quartier était très fréquenté par les ébénistes, les menuisiers, et tous les métiers du bois. Le nom du passage fait référence à un chantier de bois à brûler qui y était installé.
De nos jours, ce beau passage pavé est entouré de boutiques de marchands de meubles.
On peut également y voir de superbes cours intérieures protégées par des grilles en fer forgé. Les enseignes des boutiques sont également particulièrement jolies.





dimanche 24 septembre 2017

L'exposition : "Anders Zorn. Le maître de la peinture suédoise", au Petit Palais, Paris 8e


Je me suis rendu au Petit Palais, musée de Beaux-Arts de la ville de Paris, afin de découvrir l'exposition : "Anders Zorn. Le maître de la peinture suédoise". C'est une très belle exposition que je suis content d'avoir pu découvrir.
L'exposition : "Anders Zorn. Le maître de la peinture suédoise", est une grande rétrospective consacrée à Anders Zorn (1860-1920), qui fut une figure centrale de la peinture suédoise.
Les grands maîtres de la peinture suédoise ne sont pas si connus en France, mais pourtant ils méritent une mise en lumière car leurs œuvres sont de toute beauté !
Anders Zorn était cependant reconnu et célébré à Paris au tournant des XIXe et XXe siècles, mais il n’a pas été exposé sur Paris depuis 1906.
Le Petit Palais lui rend un bel hommage avec cette rétrospective et ce si beau bâtiment est un lieu idéal pour accueillir les toiles du maître de la peinture suédoise.


L'exposition : "Anders Zorn. Le maître de la peinture suédoise" se termine le 17 décembre 2017 et je pense que ça va être l'une des plus belles expos de cet automne.
Près de 150 œuvres permettent aux visiteurs de retracer le parcours de cet artiste, qui était l'ami mais aussi le rival de Sargent, Sorolla, Boldini et Besnard.
Cette exposition bénéficie des plus belles pièces du musée Zorn à Mora, mais aussi d’un ensemble d’œuvres du National museum de Stockholm, et d’importants prêts d’institutions scandinaves et françaises.
Peintre talentueux, Anders Zorn était également graveur et aquarelliste. Il excellait dans tous ces domaines.
Il est de nos jours, avec Carl Larsson, le peintre le plus populaire de Suède.


Anders Zorn va rapidement refuser le conservatisme de l'Académie des beaux-arts, et voyager en Espagne, à Paris et à Londres afin de parfaire son art.
Son œuvre est marquée par des moments de vie et les atmosphères. Il est connu pour ses peintures de la campagne suédoise, ses portraits, ses nus, et ses représentations de l'eau.
L'exposition : "Anders Zorn. Le maître de la peinture suédoise", nous permet de passer un excellent moment en compagnie des pièces de cet artiste.
Adresse : Le Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la ville de Paris, avenue Winston Churchill, 75008 Paris. 

vendredi 22 septembre 2017

La flore du parc de Passy, Paris 16e


Les parcs parisiens proposent une flore riche et variée lorsque les beaux jours arrivent. Le parc de Passy fait partie de ces parcs où les fleurs sont les reines des lieux !
C'est dans le 16e arrondissement de Paris que le beau parc de Passy est situé. La station de métro Passy est la plus proche du parc.
Ce grand jardin d'une superficie de 1,3 hectare est en pente et descend de la colline de Passy jusqu'au bord de la Seine.
Au centre du parc, une vaste pelouse accueille les visiteurs.


Ce jardin public comporte de superbes arbres qui ont été choisis pour leurs fleurs et feuilles abondantes.
Différentes allées du parc de Passy sont bordées de massifs de fleurs qui offrent un vrai tourbillon de couleurs ! Les jaunes, rouges, roses, bleus, colorent le parc.
Un petit espace a été aménagé avec des fleurs et arbres typiques de la Provence. L'été, la lavande parfume les lieux.
Il y a beaucoup de bancs sur lesquels on peut se reposer ou lire, tout en contemplant cette si jolie flore.
Adresse : 32 Avenue du Président Kennedy, 75016 Paris






jeudi 21 septembre 2017

Paris peint par Marc Chagall


Marc Chagall a beaucoup peint Paris, le plus souvent dans des tons bleutés. Dans la plupart de ses peintures de Paris, la tour Eiffel figurait en bonne place.
L'artiste d'origine russe considérait Paris comme étant sa deuxième ville natale. On retrouve cependant une influence venant de Russie dans ces toiles qui représentent Paris. Les souvenirs d'enfance du maître ne vont jamais le quitter.
Avec Pablo Picasso, Marc Chagall fut l'un des plus célèbres artistes installés en France au XXe siècle.
Célèbre et reconnu dans le monde entier, il est celui qui a peint le plafond de l'Opéra Garnier en 1963. Les couleurs sont vives, les personnages volent, parfois s'enlacent, tout le style Chagall est là !


Marc Chagall (1887-1985), est un peintre, graveur et sculpteur, né à Liozna, en Biélorussie. Il sera naturalisé français en 1937.
Très tôt attiré par la peinture, il commence à travailler dans des ateliers à la fin de ses études, et à l’école des beaux-arts de Saint-Pétersbourg.
Il part pour Paris en 1910 et passe ses journées au musée du Louvre, où il étudie des artistes tels que : Delacroix, Géricault, Watteau, et Courbet. Chagall va se lier d'amitié avec le poète Blaise Cendrars, qui était l'un des seuls habitants de la bohême parisienne à parler russe.
Il expose ses travaux pour la première fois en 1914 au Salon des indépendants. Il va connaître le succès et par la suite présenter ses œuvres aux États-Unis. Là encore, le succès sera immense et il va exposer dans le monde entier. Marc Chagall n'a jamais voulu appartenir à un mouvement pictural, ni se rattacher à aucune école. Un style qui se veut unique.






mardi 19 septembre 2017

10 conseils pour réussir ses photos


Je suis passionné par la photo depuis l'enfance et encore aujourd'hui, je prends toujours autant de plaisir à faire des photos.
J'ai plusieurs thèmes de prédilection : les paysages, la photo animalière, et Paris. Si je me balade dans Paris, l'appareil photo est toujours prêt à être dégainé !
Je partage cette passion sur ce blog, et d'une manière générale, il est toujours agréable pour le lectorat d'avoir des photos pour illustrer des articles. Souvent la photo peut avoir un vrai pouvoir d'attraction sur la lecture d'un article.
Beaucoup de photographes m'inspirent : Robert Doisneau, Inge Morath, Cornell Capa, et tant d'autres que j'ai eu la chance de rencontrer et qui m'ont donné de précieux conseils.
Je ne me considère pas comme un pro, mais voilà 10 astuces utiles qui m'ont bien aidé pour améliorer la qualité de mes photos :


- Avoir du bon matériel
Un bon appareil photo est indispensable pour produire des photos de qualité. Il n'est pas nécessaire de dépenser des fortunes, mais lorsque j'ai investi dans mon premier appareil photo reflex, j'ai quand même vu toute la différence !

- Autorisez-vous le droit de faire de mauvaises photos
Tous les pros vous le diront, il y a toujours des photos loupées lors d'une séance. Il ne faut surtout pas se mettre de pression et s'autoriser le fait de ne pas réussir toutes ses photos.
La patience est également importante pour réussir ses photos.
Faire de la photo doit rester un plaisir, un moyen de s'épanouir, et ne pas être une source de déception ou d'énervement. 

- Photographier des sujets qui vous inspirent
C'est tout bête comme conseil mais c'est pourtant essentiel ! Si vous n'êtes pas inspiré par le sujet que vous photographiez, il y a toutes les chances que vos photos soient banales, voire ratées.

- Trouver des inspirations chez différents photographes

Beaucoup de photographes m'inspirent et c'est très constructif pour se lancer dans la photo. Le but n'est pas de les copier mais d'observer leurs sujets, leurs cadrages...

- Ne pas abuser d'un logiciel pour retoucher ses photos
On peut retoucher ses photos au niveau des couleurs, de l'éclairage, mais attention de ne pas créer une photo qui va finalement sembler complètement artificielle.
Il vaut mieux avoir quelques défauts au lieu d'avoir une photo parfaite mais sans âme.

- Faire abstraction de l'entourage
Lorsque je fais des photos dans Paris, c'est ma principale préoccupation. Lorsque l'on est entourés de beaucoup de personnes, et de bruit, il est parfois difficile de se concentrer sur son sujet.
Avec la pratique, on apprend à ne se focaliser que sur son sujet, et à en oublier l'entourage.

- Préférer les photos sans flash
Les photos avec flash sont assez rarement une réussite. La lumière est souvent dans des tons jaunes, les couleurs semblent artificielles. Avec un reflex il y a différents moyens de se passer du flash.

- Faire des photos la nuit

Faire des photos la nuit est un excellent exercice pour améliorer sa technique et d'ailleurs beaucoup de photographes tentent l'expérience. Il faut jouer avec le temps de pose, bien observer les sources de lumière, être attentif à tout.

- Toujours prendre en compte la lumière
Il est certain qu'un paysage ensoleillé est photogénique. Cependant, la grisaille peut apporter une certaine ambiance intéressante. Dans ce cas, il vaut mieux faire des photos où le ciel n'est pas trop apparent.

- Faire des plans rapprochés
Le fameux focus ! Je m'en sers surtout pour photographier la faune et flore. Il est préférable de s'approcher de votre sujet plutôt que de zoomer. Le zoom fait perdre en qualité-photo.

lundi 18 septembre 2017

Ivie, la douce minette qui a trouvé sa famille


Ivie est arrivée au refuge où je suis bénévole car sa famille ne pouvait plus la garder. La minette s'est plutôt bien adaptée au refuge et elle savait se faire respecter par ses congénères !
Si Ivie a du caractère face aux autres chats, en revanche, avec les humains, c'est une vraie crème. Une boule de douceur et de gentillesse.
Calme et super sociable, la jolie féline a pris la pose facilement face à mon objectif.


Avec son pelage blanc qui avait des taches plus foncées, et ses grands yeux entre le jaune et le vert, Ivie est une très jolie minette. Elle n'est pas restée longtemps au refuge car elle a fait craquer une adoptante ! Comment ne pas craquer pour Ivie ?
Aux dernières nouvelles, Ivie et son adoptante sont devenue très proches et l'entente est idéale. Voilà une adoption réussie, et c'est le plus important.





dimanche 17 septembre 2017

"Lucid Dream", avec Go Soo, le très bon film sud-coréen de Kim Joon-seong


"Lucid Dream" est un film entre le thriller et la science-fiction qui m'a tenu en haleine du début à la fin. N'étant pourtant pas un inconditionnel des films de science-fiction, j'ai cependant de suite "accroché".
Ce film sud-coréen écrit et réalisé par Kim Joon-seong, est sorti en 2017. Je l'ai vu via Netflix.
L'ambiance du film est intéressante et le scénario l'est tout autant ! Il n'y a pas de longueur et le rythme est soutenu tout au long du film, ce qui est d'ailleurs la recette d'un bon thriller.
Du côté de la science-fiction, "Lucid Dream" aborde le sujet du rêve lucide, qui est un rêve durant lequel le rêveur a conscience d'être en train de rêver. J'ai bien aimé ce thème.
Je me suis laissé facilement embarquer dans cette enquête interprétée par l'acteur Go Soo.


Le synopsis du film : Choi Dae-ho, un journaliste, emmène son petit garçon Min-woo au parc d'attractions. Soudain, une fléchette l'atteint et l'endort pendant qu'on enlève son fils.
Trois ans plus tard, alors que les recherches ne donnent aucun résultat, Dae-ho découvre une nouvelle manière de retrouver des disparus : le rêve lucide.
Il va alors tenter cette expérience afin de retrouver son fils.

"Lucid Dream" traite donc du sujet du rêve lucide. Un phénomène prouvé scientifiquement par Stephen Laberge, qui a étudié les rêves lucides pour sa thèse de doctorat en psychophysiologie à l’Université de Stanford, en 1980.
Se savoir en train de rêver permet au rêveur d'avoir la possibilité d'exercer un contrôle sur ses actions mais aussi sur le contenu du rêve et de son déroulement.
Le héros du film va enchaîner les rêves lucides afin d'avoir toutes les chances de retrouver son fils.

Grâce à ses rêves lucides, et avec l'aide du commissaire Song, Dae-ho retrouve la piste des deux hommes qui ont enlevé Min-woo. Il va même entrer dans les rêves du suspect, se mettant sur la même fréquence que celle du rêveur ! C'est là que la partie science-fiction entre en jeu.


Le rôle de Dae-ho est parfaitement interprété par l'acteur sud-coréen Go Soo. Il est célèbre en Corée et a joué dans de nombreux films et séries.
Il campe un homme à la fois déterminé et fragile, prêt à tout pour retrouver son fils. Le film repose quasi sur ses épaules car il apparaît presque à chaque plan. Il s'en sort très bien.
"Lucid Dream" est un film fort agréable à suivre, qui réserve des moments touchants mêlés à de nombreux rebondissements.

vendredi 15 septembre 2017

La rue Levert, Paris 20e, le charme ancien de Belleville


La rue Levert est une rue parisienne qui a conservé une partie de son allure d'antan. On peut en particulier y voir de superbes frontons au-dessus des portes des immeubles.
Ces sculptures sont parfaitement conservées et sur l'une d'elles, j'ai pu observer un couple de pigeons en pause tendresse !
Cette voie publique du 20e arrondissement de Paris commence place Henri-Krasucki et se termine au 174 rue de Belleville. La station de métro Jourdain est la plus proche de la rue.
La rue tient son nom de Victor Levert (1769-1831), un notaire qui fut le maire de la commune de Belleville de 1805 à 1829.


La rue Levert fait partie du quartier de Belleville, qui est un quartier qui comprend de nombreuses rues, passages, et impasses au charme ancien.
Le quartier a fait l'objet de rénovations successives mais certains endroits ont été protégés du béton ! Le bas de Belleville est l'endroit le plus pittoresque du quartier.
Belleville attire de nombreux photographes. Entre 1930 et jusqu'à la fin des années 1960, Willy Ronis a photographié la vie quotidienne des gens de Belleville. Ses clichés sont de toute beauté.
Le quartier sert également de décor à de nombreux films.