Féérie, la jolie fée du refuge

Féérie porte bien son nom. Cette demoiselle féline correspond à la légende des fées : belle et douce, timide et silencieuse.
Je connais bien Féérie car elle est au refuge où je suis bénévole. Née en 2010, ça fait maintenant 4 ans qu'elle attend d'être adoptée. Discrète et timide, Féérie ne se met jamais en avant, ce qui fait que les adoptants passent souvent près d'elle sans la voir. Pourtant elle est si attachante. Il lui faut simplement une famille attentive, qui pourra lui redonner confiance en elle.

Féérie n'a pas une once d'agressivité mais elle est peureuse envers les hommes. On sent cependant qu'elle veut venir vers nous. Dans une famille elle pourrait pleinement s'épanouir et évoluer très vite.
Gourmande, la Miss vient vite me voir lorsque je lui propose des friandises pour les matous !  
La jolie fée aime beaucoup prendre la pose devant mon objectif et sait se montrer mutine. Expressive, Féérie est très agréable à photographier.

Allen et Patty Eckman, leurs sculptures entièrement réalisées en papier

Allen et Patty Eckman sont un couple d’artistes américains. Ils réalisent des sculptures entièrement faites en papier.
Allen et Patty sont les inventeurs d’un procédé unique : "la méthode Eckman". C’est en moulant la pulpe de papier et en la pressurisant pour évacuer l’eau qu'ils arrivent à créer ces incroyables sculptures. La réalisation de certaines sculptures peut prendre jusqu’à 11 mois ! Actuellement, leurs œuvres connaissent un grand succès.
Passionné par la culture indienne en raison de ses origines Cherokee, Allen créé des sculptures d'aigles, de totems, d'indiens, de chevaux, de bisons...

Le dernier projet du couple est de sculpter des scènes de la vie quotidienne des natifs américains. Ces scènes en papier sont aussi fines que réalistes.
Ça fait maintenant plus de 20 ans qu'Allen et Patty se sont spécialisés dans les sculptures en papier. Certaines de leurs œuvres sont de grande taille.
Les personnages sont en mouvement, il y a un souci du détail particulièrement étonnant dans les sujets du couple Eckman.

Visiter Giverny grâce aux peintures de Claude Monet

Entre Claude Monet et Giverny, ce fut une grande histoire. Le peintre avait trouvé à Giverny son havre de paix, mais aussi une source inépuisable d'inspiration. 
Claude Monet (1840-1926), va s'installer à Giverny en 1883. Il va y vivre pendant plus de 40 ans, jusqu'à sa mort en 1926.
L'artiste va transformer sa demeure ainsi que ses jardins en un lieu magique. C'est d'ailleurs là qu'il va réaliser un bon nombre de ses plus grands chefs-d'œuvre. Monet allait également se balader dans la campagne voisine de son domaine afin d'y peindre des paysages bucoliques.

Grâce aux œuvres de Claude Monet on peut visiter Giverny. L'artiste nous permet d'admirer les paysages de cette jolie ville située dans le département de l'Eure, en région Haute-Normandie.
Le peintre, qui fut l’un des fondateurs de l'impressionnisme, adorait peindre en son jardin. Son pont japonais, ses nymphéas, ses fleurs, ses bassins, on les retrouve dans les peintures de l'artiste.
Giverny est une ville célèbre car la maison et les jardins de Claude Monet attirent chaque année une foule de visiteurs.

La cité Bauer, Paris 14e, des façades et un portail à voir

C'est dans le quartier de Plaisance, tout proche du Petit Montrouge, que vous pourrez découvrir la cité Bauer.
La cité Bauer est une petite rue située dans le 14e arrondissement de Paris. Elle débute au 36 rue Didot et se termine au 15 rue des Thermopyles. C'est une très jolie rue calme et qui contient de vraies curiosités ! On peut s'y promener tout au long de l'année, toutes les saisons donnent du charme à cette rue.

À la cité Bauer, Vous avez différentes maisons de ville aux façades colorées et aux jardinets remplis de fleurs et arbres. On voit que les habitants prennent soin de leurs maisons.
Au numéro 19 de la rue, vous avez un magnifique portail en bois. Il attire de suite l'attention. Il fut réalisé en 1959 par l'artiste hongrois Alexandre Mezei, qui occupait les lieux. Un portail au charme slave, constitué de bois et de fer forgé. Des dessins, des cœurs, de la couleur, ce portail est décidément à ne pas manquer.

Paris, une balade du côté de Notre-Dame

En ce mois de février qui touche à sa fin, j'ai profité d'une journée relativement ensoleillée pour aller faire un tour du côté de Notre-Dame.
La cathédrale Notre-Dame de Paris fait toujours son effet, même si on a l'habitude de la voir. La construction s’étant étendue sur plusieurs décennies, le style du monument n’est pas d’une uniformité absolue et c'est justement ce que j'aime. Je vais donc souvent flâner aux alentours de Notre-Dame, en profitant des quais de Seine.

Après avoir traversé l’île de la Cité, dans le 4e arrondissement de Paris, je rejoins L’île Saint-Louis, qui se situe juste en amont de l’île de la Cité.
L’île Saint-Louis et l’île de la Cité sont les deux îles naturelles de la Seine subsistant encore de nos jours à Paris.
L’île Saint-Louis vous offre une vue imprenable sur Notre-Dame. On observe le ballet des différents bateaux, les monuments, la Seine. Une balade détente garantie !

Loomis Dean, ses photos de Grace Kelly au naturel

Loomis Dean (1917-2005), fut l'un des photographes les plus célèbres du "Life Magazine". Il a photographié toutes les stars d'Hollywood.
Ce photographe avait la réputation de savoir mettre parfaitement à l'aise les sujets qu'il prenait en photo. Visiblement, ce fut le cas avec la sublime Grace Kelly. Sur ces clichés, Grace apparaît plus rayonnante et souriante que jamais. Grace était une perfectionniste, il était rare qu'elle se laisse photographier au naturel. Sous l'objectif de Loomis Dean, Grace est sans artifices, détendue et épanouie. Des clichés rares et vrais d'une femme aujourd'hui considérée comme une icône.

Loomis Dean avait étudié la photographie à la "Eastman School of Photography de Rochester", à New York.
Il a réalisé des photos de mariages royaux, de défilés de mode, de stars et de personnages illustres tels Ernest Hemingway. Photographe engagé, il va également photographier les émeutes et les guerres au Moyen-Orient. Loomis Dean aimait capturer les stars au naturel, loin des portraits guindés et officiels. Grace Kelly s'est prêtée au jeu des photos spontanées. Elle a eu raison.